History of a Haitian young boy - Aaron Williams

**Pablo Gaviara** Dim 20 Nov - 11:14

PRÉNOM NOM: Aaron WILLIAMS
DATE DE NAISSANCE: 24 Novembre 1992
LIEU DE NAISSANCE: Los Santos
ORIGINES: Haïtiennes
ETHNIE: Afro Américaine

QUELQUES TRAITS DE CARACTÈRES : Facilement influençable par les personnes qu'il respecte, orgueilleux avec ceux qu'il considère comme inférieur a lui. Se précipite peut-être trop vite dans les ennuis, sans réfléchir. Essaye souvent de manipuler son interlocuteur pour arriver à ses fins.
ACTIVITÉS: Ne va plus en cours, graffer est son activité favorite, il zone la plupart de son temps vers Willowfield.
AFFINITÉ SPÉCIALES: Trigger.

ADRESSE: Domicilié quelque part a Willowfield

Aaron est né a Oakland, le 24 Novembre 1992, de parents d'origines Haïtienne. Il déménagea à Los Santos à l'age de 4 ans, passant donc la majeur partie de sa vie dans cette ville aux multiples facettes. D'un coté, dans les collines du nord-ouest, Vinewood et ses dizaines de villa, luxueuses, représentants l’orgueil et l'extravagance de la Jet-Set californienne, de l'autre, Willowfield et ses blocs miteux, représentant tout ce que l'Amérique tentait de cacher.

Les années passaient, et peu à peu, malgré les espoir que sa mère plaçait en lui, Aaron subissait le même sort que ses amis. Conséquences de son milieu social, violence, déscolarisation et autres idioties que faisaient tout les gosses de son genre étaient au rendez vous. Au fil des ans, Aaron se fit très vite un solide groupe d'amis, unis dans la misère, prêts a tout pour s'en sortir. Trigger, Bastos, Rence, Nayl' ... tous étaient comme Aaron - que l'on nommait W' au passage - dans la misère la plus profonde, là où 10$, ça se mérite.

Dans l'Amérique tel que l'on se l'imagine, le McDo, c'est monnaie courante, dans l'Amérique de Willowfield, le repas, faut bosser dur pour l'avoir. Tu bosses pas, tu manges pas, street law ...

C'est alors qu'un beau soir, Nayl' et Trigger, l'un des amis les plus proches de W' décidèrent de réunir toutes la bande à la planque. Ils étaient surement question d'un putain d'truc, l'ambiance était festive, puis la musique s’arrêtât et les deux compères prirent la parole, chacun leur tour, dans un fameux discours solennel dont ils avaient surement le secret. Il s'agissait d'argent, de fierté, de neighborhood. Puis d'un coup, le sujet de conversation changeât, il s'agissait maintenant de gang, de deal et de CORNER ...

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